C’est ce vendredi 24 juin que Mila Dietrich nous fait découvrir son nouvel EP ‘Dark Cruising’. La date n’est pas choisie au hasard, cet EP apparaît comme un symbole, pour célébrer le mois de la Pride, la liberté sexuelle et l’amour libre.
Il a été travaillé comme une bande-son pour la marche des fiertés, afin de réunir, fédérer et revendiquer les droits de toutes et tous, aux rythmes des kick/bass happy techno.
Il pourra tout aussi bien s’introduire sur les dancefloors de clubs gay et les sous-sols des backrooms.
Le style des tracks est orienté techno minimale, avec des basslines au groove assumé, des drums acérés et des synthés électro inspirés du Tube Satisfaction de Benny Benassi.
Les voix sont ouvertement sexy et explicites, voire légèrement kinky.
Les deux tracks font corps et prennent tous leur sens ensemble avec une continuité volontairement millimétrée.
Il pourra tout aussi bien s’introduire sur les dancefloors de clubs gay et les sous-sols des backrooms.
Le style des tracks est orienté techno minimale, avec des basslines au groove assumé, des drums acérés et des synthés électro inspirés du Tube Satisfaction de Benny Benassi.
Les voix sont ouvertement sexy et explicites, voire légèrement kinky.
Les deux tracks font corps et prennent tous leur sens ensemble avec une continuité volontairement millimétrée.
L’Artwork, réalisé par l’artiste queer marseillais Gael Lapasset, a également été inspiré par l’imagerie des sex shop gay, et plus largement Lgbtqi+.
Sous les stickers se cache en effet un toy à l’utilisation bien énigmatique… On vous laisse deviner de quoi il s’agit.
Sous les stickers se cache en effet un toy à l’utilisation bien énigmatique… On vous laisse deviner de quoi il s’agit.
La pochette est accompagnée d’un shooting photo mettant en scène Mila dans un nouveau personnage très androgyne.
On l’imagine tantôt boxeuse se préparant à monter sur le ring pour envoyer au tapis les clichés patriarcaux, tantôt raver se préparant pour une party bdsm dans la backroom…
On l’imagine tantôt boxeuse se préparant à monter sur le ring pour envoyer au tapis les clichés patriarcaux, tantôt raver se préparant pour une party bdsm dans la backroom…